Retour France

Le lac des Adus

16 septembre 2007
Après les vacances de mois d’août, l’une des nos destinations a été aussi le lac des Adus. On vous invite de faire cette randonnée avec nous si vous le voulez bien, comme si vous étiez. Arrivé à Boréon situé au cœur de la Suisse niçoise, au-dessus de Saint Martin Vésubie. Le domaine du Boréon nous ouvrant les portes du Parc National du Mercantour. Voici, ici bas le lac de Boréon.

Nous avons pris la direction du col de Salèse et on s’est garés aux parkings prévus et signalés (de P1 à P7).
Nous commençons la montée vers le Refuge et le lac des Adus. Ce tronque d’arbre coupé a attiré notre attention grâce à cette végétation qui a poussé dessus comme si c’était dans la terre.

La forêt s’étalé dans toute sa splendeur émerveillant nos regards enchantés par sa beauté. L’air pur oxygénait nos corps lui donnant énergie et bien être nécessaire sur tout le parcours.

Sur le chemin, ces racines étaient impressionnantes

Puis vint le chemin à cailloux

Plus on montait et on se rapproché de sommet, plus la nature devenait plus généreuse avec nous

Ce bout de chemin fut très agréable à marcher. Tant mieux, un peu de relaxation ça nous fait du bien.

Il faut tenir tout droit

Nous sommes à plus de 2300 mètres d’altitude et il ne reste plus que quelques centaines de mètres jusqu’au refuge d’Adus.

Nous y voilà en fin au refuge.

Il y avait de la fumée qui s’échappait par la cheminée. Dedans régné une bonne ambiance. Ca sentait bon la nourriture. On entendait des bruits de verres, des rires du bavardage. Par la fenêtre nous avons aperçu des chasseurs à table. Ca nous a donné faim mais encore quelques centaines de mètres et on atteignait le but, alors nous avons décidé de se restaurer après.

Malgré le bon bout de chemin, avec ses difficultés que nous avions eus, on ne pouvait pas lire sur nos visages l’ombre de fatigue. 

Le plateau des Adus, couvert de champs de rhododendrons et de myrtilles, se colore au fil des saisons : au vert tendre de juin et au rose de juillet succédera le roux automnal, l'hiver jetant de novembre à mai son voile immaculé sur la pelouse alpine et la végétation arbustive. Seuls quelques rares mélèzes ou arolles en émergeront, servant de perchoir occasionnel aux tétras-lyres (petits coqs de bruyère) qui prisent ces lieux paisibles délaissés par l'homme de longs mois durant.

On est tout près, juste cette petite montée et nous sommes arrivés

Oh ! Quelle déception de trouver une flaque d’eau à la place de lac des Adus. La sécheresse a desséché le lac. Pour comparer lorsque le lac avait son niveau normal d’eau

C’est arbre a poussé d’une drôle de façon.

En partant, en redescendant en voiture, du parking, avant d’arriver au Boréon, nous avons fait des belles rencontre dont en voici une

Voilà, la dernière balade de l’année 2007 que nous allons faire ensemble. En espérant que vous avez aimé vous promener en notre compagnie on vous dit à bientôt à l’année prochaine